Réservé aux abonnés Publié le 20/02/2022 à 19:41, Mis à jour le 20/02/2022 à 19:41 Le mouvement des «gilets jaunes» (ici, le 9 novembre 2019, à Mouy-sur-Seine, en Seine-et-Marne) a marqué le paysage français, il ne s'est pas transformé en une force vive et influente dans le débat politique. LUCIEN LUNG/Le Figaro L'élan citoyen à l'ampleur inédite a marqué le paysage français sans pouvoir se transformer en une force influente dans le débat politique. Gilet jaune marquise blanc. Dès le printemps 2019, Emmanuel Macron l'affirmait: après six mois de mobilisation, les «gilets jaunes» n'avaient « plus de débouché politique». « Nous avons fait notre part du travail, je pense que maintenant, chacun doit aller voter, se présenter aux élections, et c'est beaucoup plus difficile de proposer un projet pour que d'être contre tout le reste », déclarait-il alors. À lire aussi L'abri pour les «gilets jaunes» financé par la mairie de Grenoble est-il légal? À moins de 50 jours de l'échéance ultime, les prédictions du chef de l'État semblent se confirmer.
Moudens réduit le score à l'heure de jeu avant d'être expulsé pour deux cartons jaunes. Malgré quelques contres dangereux menés par des attaquants de plus en plus fatigués, le Marquisat recule et encaisse un 3e but sur corner (tête plongeante au 1er poteau). La fin du match est décousue, hachée, par de multiples blessures. Victoire finale du Marquisat, mais que ce fut dur! US MARQUISAT 4-FONSORBES AV 3 MT: 4-1 Arbitres: Mohamed Nouari, assisté de Joao Santos et Lucas Negreto. Gilet jaune marquise des anges. Pour Marquisat: Barrère (5, 10, 15) et Weiss (45). Pour Fonsorbes: (16, 56) et Poeytes (90). MARQUISAT: Grégoire, Vaz (Luby 40), Carassus (cap), Fernandes, Roussel (Pereira A, 75), Fredigo, Védère, Despaux, Barrère, Pereira R, Mouchet (Weiss 40). Entraîneur: Pierre Larrieu. Avertissements: Barrère (55), Vaz (77), Weiss (95). FONSORBES: Ferrer, Diaz, Marnac (Mensir 45), Lacroix, Lacaze, Bleda, Toppan, Bonis, Benslama, Poeytes (cap), Moudens. Entraîneur: Galéote Christian. Avertissements: Toppan (6), Moudens (54, 75) Bleda (60).
- " Attraper le président par le colbac " - Le 21 juillet, Alexandre Benalla devait se marier à la mairie d'Issy-les-Moulineaux: à la place, son domicile est perquisitionné. La veille, les policiers n'ont pas pu rentrer chez lui et, entre-temps, une armoire forte censée contenir des armes a disparu. L'épisode, rocambolesque, entraînera l'ouverture d'une nouvelle enquête. Pendant ce temps, Emmanuel Macron reste obstinément silencieux. Boycottons l'élection présidentielle ! | Le Club. Jusqu'à ce qu'au bout d'une semaine, ses déclarations lors d'un pot de fin de session parlementaire " fuitent ". " S'ils veulent un responsable, il est devant vous. Qu'ils viennent le chercher! ", lance le chef de l'État, bravache, jurant que " personne n'a jamais été protégé " et épinglant médias, justice, Parlement. Cette affaire est une " tempête dans un verre d'eau ", dira-t-il plus tard. Lunettes rondes, cette fois rasé, l'homme au centre du scandale, mis en examen, s'exprime à la télévision quelques jours plus tard. " On a essayé de m'atteindre, de me +tuer+, affirme-t-il.