Vingt et un morts, dont 19 enfants: c'est le bilan de la nouvelle tuerie de masse du Texas. L'une des pires dans une école depuis celle de Sandy Hook dans le Connecticut en 2012, qui avait fait 28 morts dont 20 enfants. Et comme après Sandy Hook, le débat sur les armes refait surface aux États-Unis, où les politiques peinent à faire bouger les lignes. Ce débat sur les armes, c'est Joe Biden qui l'a relancé depuis la Maison-Blanche en prenant la parole quelques heures après la tuerie de Uvalde au Texas. « Quand, pour l'amour de Dieu, allons-nous affronter le lobby des armes? Quand, pour l'amour de Dieu, allons nous faire ce que nous savons qu'il faut au fond de nos tripes? » Un sujet que Joe Biden connaît bien. Docteur falla paye un. En 2012, après la tuerie de Sandy Hook, c'est à lui, alors vice-président, que Barack Obama avait confié la mission de réformer l'accès aux armes aux États-Unis. Une mission qui s'est plutôt soldée par un échec: en dix ans, le pays a connu 3500 tueries de masse selon le site Gun Violence Archive qui les recense, dont 900 en milieu scolaire.
Le Mariage fut scellé. La veille, le docteur demanda si la dame était amoureuse de lui, la femme répondait « Djiguen dafay miine ». Pendant la lune de miel, le cabinet d'un certain docteur Kane demande à la femme de remplacer le titulaire pendant 15 jours de 8H à 18H. Le mari prend le soin de déposer sa femme le matin et de le prendre le soir pour ne pas être celui qui enfreint sa carrière. Dans sa lettre d'adieu, le docteur dit vouloir éviter d'être indexé à chaque fois. Cela au point de laisser sa femme aller prendre sa sœur Ramatoulaye Diagne, mariée à un émigré, pour le déposer au marché. Cette dernière l'avait appelé alors que le couple était en pleine intimité mais Ndèye Awa avait abandonné son mari sur le lit conjugal. « C'était pendant un rapport sexuel et ce n'était pas la seule fois » écrit-il en lettre gras. La si longue lettre d’Adieu du Docteur Paye pour décrire le drame sentimental qui l’a poussé à se suicider avec ses enfants. Sans doute pour insister sur sa souffrance. Le retour de l'ex, la revanche sur la société Cinq jours seulement après leur mariage, la femme avait raconté à son mari que son ex copin l'avait appelée pour lui chercher un appartement parce que prêt à la prendre comme seconde épouse.
Beaucoup vont même jusqu'à demander plus d'armes. L'argument? Celui du « good guy with a gun » (« du gentil avec un pistolet »). En clair, la meilleure façon de stopper un tireur armé serait un autre tireur armé. C'est le propos qu'a tenu ce mercredi Ken Paxton, Attorney General du Texas, sur Fox News. « On ne peut pas empêcher les mauvaises personnes de faire de mauvaises choses. DANS UNE LETTRE, LE DR FALLA PAYE DÉVOILE LE MOBILE DE L’HORREUR – Timis Actu. Ces gens ne vont pas respecter les lois sur les armes de toute façon, je n'ai jamais compris cet argument. » L'homme, équivalent du ministre de la Justice au Texas, a repris une vieille proposition de Donald Trump, celle d'armer les professeurs dans les écoles. « Ce qu'on peut faire, c'est distribuer des armes et entraîner les enseignants et les personnels à agir vite parce que la réalité, c'est que nous n'avons pas les moyens de mettre un policier dans chaque école. Donc entraîner ces personnes dans les écoles, c'est selon moi, la meilleure solution à ce problème. » La NRA en congrès au Texas L'Attorney General du Texas est notamment soutenu par la National Riffle Association (NRA), le puissant lobby des armes des États-Unis.
Venu dans la maison conjugale avec un complexe qui avait comme trame de fond la vie modeste qu'elle avait chez un père vendeur de Poulets et une mère vendeuse au marché, elle pleurait même parce qu'ayant peur de ne jamais se hisser au niveau de l'homme qu'elle a épousé. Cependant, elle disait apprendre vite pour arriver à un tel niveau. Son homme lui payait payer tout, la lingerie, la garde-robe et tout ce qui faisait d'elle, une femme civilisée. Ce niveau atteint, la femme avait, note-t-on dans la lettre, complètement changé, allant jusqu'à minimiser la somme de 30 000 f pour le ''Soukarou kor'' que son mari donnait à ses parents. A la naissance du premier enfant, madame refusait de se soumettre à tous les ordres parce que n'étant plus une femme soumise et menaçait de retourner chez ses parents pour un tout ou un rien. Suicide à Sacré-Cœur : Les détails de l'autre lettre du Dr Falla Paye (pas adressée à sa femme). Plus tard elle refusera même les « rapports sexuels avec son mari et acceptait seulement quand elle avait besoin de quelque chose ». Les problèmes se sont accumulés, les autres enfants étaient nés, la fille portait d'ailleurs le nom de la mère de l'épouse.