Les outils nécessaires pour démonter un enrouleur de génois Si votre enrouleur de génois a un certain âge, vous avez besoin d'une petite machette ou d'un marteau pour vous débarrasser des pièces de fixation récalcitrantes. Une visseuse ou un tournevis électrique est indispensable pour retirer la plupart des vis. Une perceuse fera l'affaire si certains éléments sont retenus par des rivets. Pour démonter le tambour, vous devez avoir plusieurs clés à 6 pans. Vérifiez également l'état de l'étai et de tous les profilés de votre enrouleur de génois. Vous pourriez avoir besoin de pinces, de scie ou d'autres outils pour désolidariser certains éléments. Le démontage d'un enrouleur de génois se fait en deux ou trois heures. Les étapes du démontage d'un enrouleur de génois Comment démonter un enrouleur de génois sur un voilier? L'opération la plus délicate est le démontage de l'étai sur un bateau mâté. C'est le genre d'opération qu'il faut absolument confier à un gréeur expérimenté si vous ne vous en pensez pas capable.
D'autres éléments comme l'émerillon génois et le cardan sont encore fixés dessus. Pour libérer le câble, vous devez dévisser tous les vis ou percer les rivets de chaque profilé. Si vous souhaitez réviser l'intérieur du tambour, déposez les quelques écrous qui retiennent son plateau supérieur. Enfin, profitez en pour mettre un peu de graisse marine sur le guindant de la voile une fois que vous l'avez libéré. Les complications possibles lors du démontage d'un enrouleur de génois En général, tout propriétaire de bateau s'en sort très bien dans le démontage d'un enrouleur de génois. Seule la dépose de l'étai peut, en effet, poser des difficultés. À part cela, certains éléments de l'enrouleur qui ont bien vieilli risquent de résister au démontage. L'utilisation d'une colle de blocage lors du montage pourrait vos empêcher de venir à bout de quelques écrous et vis. Sachez également que certains modèles d'enrouleurs de génois vendus en kit comportent plus d'une vingtaine d'éléments. Pour réussir le démontage, vous devez vous référer au guide d'installation.
Pour commencer j'ai hissé Willi en haut du mat pour enlever l'ancien cable de l'étai avant. Nous avons ensuite comparé la longueur de l'ancien cable avec notre nouveau système d'enrouleur. Les deux étaient identiques, un travail parfait. Enrouleur et les morceaux de tubes qui vont autour du cable Ensuite nous avons assemblé les 4 tubes (profils) en alumium qui vont autour du cable de l'enrouleur. C'est très facile à faire et bien expliqué dans le mode d'emploi avec des images. De plus il y a quelques endroits qui sont marqués de manière spécifique afin que l'on reconnaisse facilement les pièces. Les trous et les tubes correspondent très bien et il ne faut rien « forcer » pour visser les vis livrées avec le système. Raccords entre les morceaux de tubes en aluminium L'assemblage est très vite réalisé, juste le dernier bout est un peu plus compliqué à fixer. Nous avons finalement scié le dernier rebord en plastique du « joint » afin qu'il s'insère facilement dans le tube. la partie qui sera fixée en haut du mât Nous avons ensuite glissé l'émerillon sur le tube en aluminium et il a glissé « comme du beurre ».
Le surpattage peut arriver: soit lorsqu'on est sur le point de finir de dérouler la voile et que le vent fait gonfler la voile et met en tension l'écoute; soit lorsqu'on enroule la voile et que l'écoute était trop relâchée.. Donc pour éviter le surpattage, préparez bien les manoeuvres d'enroulement et déroulement du génois et garder toujours une légère tension sur les bouts. On continue avec un autre extrait de la vidéo précédente: Être à l'écoute de son bateau: soyez tendre avec l'enrouleur Vous l'aurez compris, on utilise jamais de winch lorsqu'on manipule la bosse d'enrouleur. Un équipier peut venir aider celui qui borde en tirant vers le haut la bosse et en la relâchant vers l'arrière. Cette équipier sera bien sûr toujours équipé de gant! Celui qui borde n'a plus qu'à reprendre le mou. Pour que ça marche bien, il faut être synchro. Une idée pour synchroniser la manoeuvre, c'est que celui qui tire dise 1 et que celui qui borde dise 2. La vidéo suivante, nous montre où il faut regarder lorsqu'on déroule le génois.
quand on a besoin d'un enrouleur d'une quinzaine de metres les choix ne sont pas vastes: harken, facnor, furlex et bien sûr profurl. j'ai déjà utilisé le profurl et un ancien hood. le profurl, ça marche, faire gaffe au montage de la petite vis lisse en bout, anodisation costaud. c'est connu, c'est OK Et les autres?? notez qu'un profurl 420 est vendu environ 2500 €. Il y a un site d'achat en ligne ( ship accastillage) qui le propose à 1800€. c'est déjà une grosse différence. le moins cher semble etre le harken. Que pensez vous, à l'utilisation, de ces différents enrouleurs
d'avoir un vieux modèle de 1980, qui marche avec deux roulements costauds sur l'étai lui m^me: le profil est fixé rigide a l'étai et c'est l'étai qui tourne.. ce principe semble aujourd'hui abandonné, alors qu'il n'a jamais grippé en 20 ans. Sans doute le prix des roulements qui doivent tenir 1 ou 2T en traction permanente et tourner toujours au poil.. seul pb, impossible de retrouver du profil de rechange, le bas étant un peu tordu par des grutages 0 Ah Ah! Je rigole! :-D Quand je pense qu'il y en a qui s'en font une montagne! :-D Bon, une vis sur 2 a sauté à la perceuse, mais le tout et venu assez bien, les éclisses et le profil en plastique sont pratique, par contre le hic: il faut couper le cable (un coup de disqueuse et hop) et inversement sertir le nouveau en place... Heureusement que l'homme de l'art est à 100 m du bâteau! Je reste perplexe sur le fonctionnement du chapeau en plastique qui écarte les drisses de voisinage, en particulier, je ne sais pas si il doit être libre (comme c'était le cas) ou s'il est solidaire de l'émerillon (? )